Arkeia, une solution de sauvegarde réseau commerciale et professionnelle

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original in en Georges Tarbouriech 

en to fr Georges Tarbouriech 

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Georges est un vieil utilisateur d'Unix (commercial et libre). Il a choisi Arkeia pour sauvegarder un réseau très hétérogène.

Abstract:[Here you write a little summary]

Arkeia 4.2.3-1 est la dernière version d'un logiciel de sauvegarde réseau commercial et professionnel de Knox Software http://www.arkeia.com. Il existe aussi une version personnelle et gratuite disponible dans différentes distributions Linux.
Vous pensez peut-être qu'un logiciel commercial n'a rien à faire dans LinuxFocus.
Disons que ce produit commercial est destiné aux professionnels et comme Linux est de plus en plus engagé dans le domaine professionnel...

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Introduction

L'administration réseau est un travail aux mille tâches. L'une d'elles concerne la sauvegarde. La quantité de données au sein d'un réseau augmente tous les jours un peu plus, particulièrement aujourd'hui que nous avons de gros disques durs, de grosses applications et de plus en plus d'utilisateurs.
La stratégie de sauvegarde a dû évoluer vers une plus sophistiquée si nous comparons à ce qu'elle était dix ans plus tôt.
Il était alors possible d'utiliser un streamer (lecteur de bandes) relié à un serveur et de sauvegarder par des commandes Unix telles que dump, tar, cpio ou find (-cpio est une option de find) le dit serveur d'applications.
Bien sûr, c'est encore une possibilité si le nombre de serveurs, de clients, d'applications n'a pas été multiplié.
Si votre réseau a "grandi" vous devrez chercher une meilleure solution que la précédente.
Lorsque nous disons meilleure, nous devrions dire plus rapide!
A partir de là, vous allez essayer de trouver le meilleur moyen de faire ce travail.
Lorsque votre réseau est composé de nombreux OS différents, il devient plus délicat de trouver la "meilleure" solution. Comme d'habitude, la "meilleure" solution doit être bon marché, efficace et facile à mettre en oeuvre! Sérieusement, c'est toujours un compromis, et ce qui est bon pour vous ne l'est pas forcément pour votre voisin.
Ainsi, la première chose à considérer concerne vos besoins: matériel, logiciel.
Il existe de nombreux produits, mais ce sont presque tous des logiciels propriétaires... et ils sont plutôt chers, ce qui est un euphémisme.
N'oublions pas la partie matériel: vous aurez besoin de plus de streamers ou d'automates.
Enfin, vous devez avoir une machine susceptible de devenir un serveur de sauvegarde.
Ce serveur doit posséder un gros disque, beaucoup de ressources (mémoire, CPU) et des ports SCSI.
Il doit être capable de sauvegarder plusieurs machines simultanément.
On y va?

Présentation

Le choix d'Arkeia

Comme mentionné plus haut, de nombreuses grosses entreprises "offrent" des solutions de sauvegarde réseau.
Arkeia a été choisi d'abord pour son support de nombreux OS.
Des serveurs de sauvegarde peuvent être: AIX 4.1, DEC Alpha Unix 4.0, HP-UX 10, IRIX 6.2 et au-dessus, Linux 2.* (x86), Solaris 2.5 et au-dessus et NT 4.0 Server Intel.
Des clients peuvent être: les mêmes que les serveurs plus beaucoup d'autres tels que SCO v5 (Intel), BSD 3.0, 4.0, Novell 4.11, FreeBSD 2.2.6, Windows 95, 98, NT 4.0 Server (Alpha) et NT 4.0 Workstation (Intel).
Cette liste n'est pas exhaustive et peut changer à tout moment. N'hésitez pas à visiter http://www.arkeia.com pour plus ample information.
Pratiquement tous les serveurs ont une interface graphique, basée sur une bibliothèque Xlib propriétaire pour Unix et sur Java pour les produits Microsoft.
La seconde raison du choix concernait le prix. Nous n'en donnerons pas puisqu'il dépend de votre réseau, du nombre et du type de serveurs et de clients, si vous utilisez des automates ou pas (dans ce cas, vous devez achetez une licence pour la bibliothèque gérant l'automate).
Une simple connexion au site d'Arkeia vous permet d'obtenir une cotation correspondant à votre configuration réseau.
La dernière raison concernait la gestion des streamers. Arkeia est capable de gérer pratiquement tous les types: DAT, EXABYTE, QIC...
Comme nous possédions plusieurs streamers QIC, c'était un problème de moins à résoudre.

A quoi ça ressemble?

adm.jpg
La fenêtre principale

Comme nous l'avons vu précédemment, Arkeia utilise une GUI côté serveur.
Vous entrez dans Arkeia par une fenêtre de login vous donnant accès à chaque fenêtre spécifique à la gestion de la sauvegarde. Ces fenêtres s'ouvrent par menu, menu contextuel ou icônes.
Tout cela peut être configuré selon vos goûts (fonds prédéfinis ou couleur de votre choix).
Il n'y a pas grand chose à dire de plus, tout est évident et convivial.
Sous Unix, la GUI fonctionnera avec pratiquement tous les window managers.
Sur les trucs Microsoft, vous devrez installer LA JVM Microsoft (Java Virtual Machine) avant de pouvoir utiliser l'interface graphique.
En conclusion, cette interface est très pratique que vous aimiez ou pas son apparence.

Comment ça marche?

Arkeia utilise une technologie de sauvegarde parallèle à travers un réseau TCP/IP.
Un serveur de sauvegarde gère les streamers et récupère les données des clients par l'intermédiaire de flux multiples.
Il fonctionne selon l'architecture client/serveur en utilisant la mémoire partagée et les files d'attente. L'IPC (Inter Process Communication) doit être parfaitement configurée sur votre serveur de sauvegarde.
Le manuel avancé vous indiquera comment affiner les réglages de votre serveur.
La configuration est très logique: vous devez installer le logiciel serveur et client sur le serveur de sauvegarde et le logiciel client sur les clients. Jusque là, ça va!
Côté serveur vous devrez définir tout ce qui concerne les streamers, les pilotes, les pools de bandes, les bandes et les sauvegardes (savepacks).
- Streamers: la première étape du processus de configuration.
Choisir "Drives management" dans le menu "Devices", vous permet de donner un nom au streamer, ses autorisations (lecture, écriture, nettoyage, effacement) et bien sûr son pilote. Cela dépendra de votre système: par exemple /dev/rmt/1h sous Solaris ou /dev/rmt/tps1d2 sous Irix ou /dev/st0 sous Linux.
Vous devez définir chaque streamer et le pilote correspondant.
Imaginons que vous ayiez quatre streamers QIC reliés à votre serveur O2 (Irix 6.5):
Le premier pourrait s'appeler QICun avec /dev/rmt/tps1d2 comme pilote, le second QICdeux avec /dev/rmt/tps1d3 comme pilote, et ainsi de suite.
Le chiffre "1" après "tps" est le numéro du contrôleur SCSI et le chiffre "2" après "d" est l'ID du pilote.
Nous supposons que vous savez tout sur les ID SCSI, les chaînes SCSI...
Si vous possédez un automate, la configuration est pratiquement identique et la documentation vous dit tout ce que avez besoin de savoir.
- Drivepacks: (groupes de pilotes)
A partir du même menu, sélectionnez "Drivepacks" et créez un drivepack correspondant au streamer.
Pour continuer avec l'exemple précédent, vous avez un streamer nommé QICun. Vous pourriez nommer le drivepack QICun Pack. Faites de même pour chaque streamer défini.
Maintenant, chaque drivepack doit correspondre à son streamer. Sélectionner le streamer et le drivepack correspondant suffit à les relier.
- Pool de bandes:
Cette étape permet de créer autant de pools que nécessaire. Dans le menu "Tapes management" choisissez "Pools management". Cliquer sur l'icône "New" et remplir le champ crée un pool.
- Bandes:
Chaque pool doit contenir une ou plusieurs bandes. La fenêtre "Tapes in pool" peut être ouverte en double-cliquant sur le pool. Si vous choisissez "New" vous ouvrez la fenêtre "Create tape". Remplissez les champs.
Au fait, il existe une aide en ligne très utile, une par fenêtre vous indiquant la marche à suivre.
- Sauvegardes (Savepacks):
Enfin, il faut maintenant créer un ou plusieurs savepacks. Un savepack contient l'arbre que vous souhaitez sauvegarder pour un client spécifique. Vous pouvez vous déplacer dans la hiérarchie avec un navigateur afin de sélectionner répertoires ou fichiers.
Répétez l'opération pour chaque client et pour chaque arbre à sauvegarder.
Maintenant, vous êtes prêts pour une sauvegarde interactive de plusieurs clients en même temps.
Allons dans la "vraie vie".


Un exemple réel


Nous avons un réseau un peu bizarre avec quatre serveurs à sauvegarder.
Le serveur de sauvegarde est une O2 SGI, et les clients sont un serveur d'applications Sun sous Solaris 2.6, un serveur de communication Linux sous RH6.0 et deux serveurs d'applications sous NT4.0.
Nous allons faire une sauvegarde interactive des quatre machines.
Nous créons quatre streamers: les noms seront QIC Sun, QIC Linux, QIC Pcsvr et QIC Pcdev.
Original, non?
Définissons les quatre pilotes: QIC Sun sur /dev/rmt/tps1d4, QIC Linux sur /dev/rmt/tps1d5, QIC Pcsvr sur /dev/rmt/tps1d3 et QIC Pcdev sur /dev/rmt/tps1d2.
Vous remarquerez que nous sommes de plus en plus originaux.
Nous leur donnons tous les droits: nous sommes l'administrateur et nous sommes root.
C'est laid, hein?
Nous créons ensuite les drivepacks correspondants: Sun Pack, Linux Pack, Pcsvr Pack and Pcdev Pack, encore avec beaucoup d'imagination.
Maintenant, les pools de bandes: comme d'habitude, Sun Pool, Linux Pool, Pcsvr Pool and Pcdev Pool.
Nous créons un pool pour chaque pack. C'est un choix personnel. Nous pourrions créer un seul pool de quatre bandes.
Si votre pool contient plusieurs bandes, Arkeia gère les streamers. Cela signifie que si vous ne donnez pas une priorité à chaque pilote, Arkeia décide de ce qu'il va sauvegarder sur quel streamer.
C'est probablement la caractéristique que j'aime le moins.
Enfin, définissons une bande dans chaque pool: et toujours, Sun Tape, Linux Tape, Pcsvr Tape et Pcdev tape.
Rassurez-vous, ceci ne doit être fait qu'une seule fois. Vous pourrez réutiliser tout ça chaque fois que vous en aurez besoin.
Nous voulons une sauvegarde complète de chaque serveur.
Définissons les savepacks: Sun, Linux, Pcsvr et Pcdev seront les noms.
Bien sûr, Arkeia est correctement installé sur les clients et vous pouvez donc voir chaque machine dans le navigateur. Sélectionnez-les en cliquant dans les cases correspondantes.
Lançons une sauvegarde interactive. Choisissez le menu "Interactive backup". Quand la fenêtre s'affiche, sélectionnez un savepack, un drivepack et un pool pour chaque serveur.
Dans notre exemple, pour sauvegarder le Sun, le savepack est Sun, le drivepack Sun Pack et le pool Sun Pool. Choisissez le type de sauvegarde (total dans notre exemple, mais nous aurions pu choisir incrémental), la stratégie de la bande (nouvelle bande pour nous, une alternative aurait pu être de compléter les bandes existantes) et utilisez ou non les emails (c'est comme vous le sentez). Validez en cliquant sur l'icône et la sauvegarde du Sun démarre.
Répétez l'opération pour chaque serveur et c'est tout. Quatre sauvegardes s'effectuent en même temps et vous pouvez aller boire un café.

linux.jpg
La fenêtre de sauvegarde

Environ quarante minutes plus tard, c'est tout fini.
Quelques remarques importantes: le réseau est un catégorie 5... mais en travaux! Ca signifie: tout le câblage n'est pas cat 5, les hubs sont soit des 10 soit des 10/100 Mb, seulement certaines machines possèdent de vraies cartes 100Mb...
Pourtant, nous avons sauvegardé environ 3 Go et quelque chose comme 150000 fichiers en à peu près 40 minutes.
Sur de véritables réseaux catégorie 5, vous auriez pu faire ça environ 3 fois plus vite.
La vitesse dépend de nombreux facteurs: réseau, machines, streamers, dimension des bandes. Notre exemple est un cas particulier et ne reflète en aucun cas la vitesse fantastique susceptible d'être obtenue avec certaines configurations. Si votre réseau est un véritable cat 5, si vous avez des automates, si vous utilisez des DAT, si vos machines sont très rapides... vous pouvez envisager du 70 Mb/min. Dans notre exemple, nous obtenons une moyenne d'environ 25 Mb/min.
Mais, cela pour chaque sauvegarde. Considérant qu'elles sont simultanées donne 100Mb/min.

linuxlog.jpg pcdevlog.jpg pcsvrlog.jpg sunlog.jpg
Les logs

Toutefois, un moyen intéressant de comprendre l'efficacité d'Arkeia est de comparer ces résultats à ceux obtenus avec l'ancienne stratégie de sauvegarde sur le même matériel.
Avant d'utiliser Arkeia, les sauvegardes étaient lancées sur chaque machine, chaque streamer étant connecté à leur port SCSI.
S'agissant des mêmes machines et des mêmes streamers le gain est de l'ordre de 50%.
Temps de sauvegarde du Sun avec son propre streamer: 1 heure; avec Arkeia: 38 minutes.
Temps de sauvegarde de Pcdev avec son propre streamer: plus d'une heure; avec Arkeia: 32 minutes. Etc...
N'oublions pas de sauvegarder le serveur de backup: cette fois nous n'utilisons pas le réseau et bien sûr, ça devient un peu plus lent (environ 22 Mb/min).
Cet exemple concerne les serveurs du réseau. Nous pouvons bien évidemment faire de même pour les clients.
Selon Arkeia, avec le matériel adapté, il est envisageable de sauvegarder en parallèle 128 machines sur 32 périphériques.
Je n'ai pas pu tester une telle configuration. Nous sommes pauvres... où je travaille.
Nous ne pouvons pas parler de sauvegarde sans mentionner la restauration. Nous pouvons le faire en une seule phrase. C'est aussi facile et rapide que les sauvegardes. En utilisant le navigateur vous pouvez restaurer exactement ce que vous voulez et même où vous le voulez, c'est à dire, vous pouvez restaurer dans un autre répertoire ou sur une autre machine.

Plus de fonctionnalités

Nous n'avons pas parlé des sauvegardes périodiques. Arkeia est évidemment capable de gérer des sauvegardes programmées pour s'effectuer à heures fixes. Sous Unix, il se servira de cron et sur les produits Microsoft ce sera un service.
Vous pouvez définir des intervalles différents pour une sauvegarde périodique: jour, semaine, mois...
Il est possible de gérer trois niveaux pour chaque sauvegarde. Par exemple, vous voulez programmer votre sauvegarde périodique pour un mois. Le niveau 1 correspond à la sauvegarde mensuelle, le niveau 2 est hebdomadaire et le niveau 3 est quotidien.
En clair, le niveau 3 s'effectuera 6 fois par semaine, le niveau 2, 3 fois par mois et bien sûr le niveau 1 ne s'exécutera qu'une seule fois.
L'effet secondaire: vous aurez besoin d'une grande quantité de bandes et autant de streamers que de serveurs à sauvegarder!
A moins de dresser votre chien à changer les bandes entre les sauvegardes pendant la nuit...
Sinon, le fonctionnement est identique à celui de la sauvegarde interactive. Il y a beaucoup à dire sur la sauvegarde périodique mais nous aurions besoin d'un article entier rien que pour traiter le sujet. Disons que c'est probablement l'une des meilleures fonctionnalités d'Arkeia.
Un autre point intéressant concerne les logs. Vous avez des logs pour tout: bandes, streamers, sauvegardes...
Ca consomme de l'espace disque, mais c'est très utile.
Ces logs sont très bien organisés et fournissent une grande quantité d'information. Arkeia les gère de manière très pratique en les archivant par mois.


avlog.jpg
La fenêtre des logs disponibles

L'aide en ligne mérite d'être mentionnée. Vous pouvez travailler avec Arkeia sans lire toute la doc. Enfin, tant que vous ne souhaitez pas faire de l'administration avancée.
La doc se trouve dans le CD-Rom du programme au format PDF, permettant de l'imprimer facilement pour créer vos propres manuels.
Cette doc contient des informations importantes sur la configuration spécifique des plate-formes, la sécurité, les problèmes, les outils, les bibliothèques d'automates...
Si vous voulez plus, il existe une mailing list dédiée à Arkeia.

Alors?

Cet article ne peut être exhaustif. Il y a tant à dire sur ce genre de logiciel.
Arkeia n'a pas essayé de réinventer la roue, mais d'utiliser tout ce qui pouvait améliorer la performance.
L'IPC est l'une des clés. Encore une fois, merci Unix.
Citons la version personnelle shareware pour Linux. Elle est destinée à un usage non commercial. Rien ne vous empêche de la tester sur votre réseau privé.
Comme elle est shareware, si vous envoyez une contribution de 20$ ou plus, 25% seront reversés à Software in the Public Interest. Ce devait être dit.
Autre chose à signaler: J'ai reçu Arkeia de la division Européenne. La personne responsable sait très bien de quoi elle parle et fait un très bon travail (Coucou Sandy!).
Cette entreprise est la première parmi toutes celles avec lesquelles je travaille à avoir traité toute l'opération par email. Pas de fax, pas de courrier postal sauf pour le paquet contenant le logiciel. Et enfin, dernier point et non le moindre, en envoyant seulement du TEXTE!!!
Totalement hors-sujet, mais j'en ai par dessus la tête de tous ces documents Word et Excel qui circulent sur l'Internet. D'abord, ils sont farcis de macro virus potentiels. Ensuite, tout le monde sur cette terre N'EST PAS obligé de posséder Word ou Excel (Comment faisions-nous pour travailler avant?). Enfin, un texte est de 10 à 100 fois plus petit que son équivalent au format Word, et à une époque où la bande passante sur l'Internet est pour le moins réduite, la taille semble un élément important.
Pardon pour la digression!
Maintenant que je me suis fait plein de nouveaux amis, revenons à Arkeia.
Je crois vraiment qu'Arkeia est une bonne solution de sauvegarde réseau. Il y a des points que je n'aime pas trop mais je pense que ces gens travaillent beaucoup à l'amélioration de leur produit. Personnellement, j'aimerais plus de fonctionnalités sur la gestion des bandes, telles que la possibilité de décider combien de bandes je souhaite utiliser dans une stratégie, ou la possibilité d'écrire par dessus le contenu d'une bande pendant la sauvegarde. En un mot, je voudrais être calife... à la place...
Le prix est également un argument important à l'heure du choix. Arkeia semble très compétitif dans ce domaine.
Si vous cherchez un outil de ce style, n'oubliez pas d'essayer celui-là. Même si vous avez l'Arkeia des distributions Linux, allez visiter http://www.arkeia.com pour en savoir plus.

Nous vivons une époque formidable!